Hayley courait sous la pluie. Elle était habillée d’une robe verte et argent raisonnablement longue et qui aurait été légère s’il n’y avait pas eu cette pluie. La robe et ses longs cheveux noirs lui collait à la peau. C’était assez désagréable car il venait s’accrocher à son visage sans ne plus vouloir y bouger.
Elle essayait d’échapper à l’une de ses créatures que l’on trouve dans le lac. Cette sirène ouvrait grand sa gueule laissant apparaître ses dents pointues. Hayley en le voyant en eut des frissons. Elle se retournait souvent pour voir si elle la rattrapait. Dans les mains de la pilleuse se tenait les précieux bijoux dérobés au monstre.
Ses pied s’enfonçait dans la boue glissante et elle faisait particulièrement attention là où elle mettait les pieds de peur de tomber et de se faire prendre par la créature qui la pourchassait. D’autant plus que en courant se n’était pas facile. Il fallait qu’elle gère sa vitesse, la distance entre elle et la sirène et aussi là où elle mettait les pieds.
Elle passa le virage suivant qui, apparemment, la menait au chemin de traverse. Elle glissa quand elle vu la surprise qui l’attendait. Il n’y avait personne excepter la sirène qui voletait toujours comme si elle était dans de l’eau, une autre personne qui regardait Hayley avec un regard écœurer. En effet la vue n’était pas superbe. Elle était allongée dans de la boue le visage apeurer et les cheveux en bataille sur son visage. Ce ne ressemblait vraisemblablement pas à Hayley. A l’habitude elle était très digne et ne s’abaisserai pas à ce niveaux. Non elle aurait combattu cette sirène à la place de la fuir.
L’autre être &tait une créature plus forte encore que la première…
Un chat noir venait de poser son museau froid sur le nez d'une jeune fille de cheveux noirs endormie. Elle avait ouvert les yeux sous l'aspect de la froideur qui venait de s'emparer de son nez avant de froncer légèrement des sourcils. Cependant aucun autre geste n'avait été de la Serpentarde alors que les ronronnements sonores de son chat se faisaient entendre. Pendant une bonne minute, l'animal et la jeune verte et argent se fixèrent, ne voulant céder le premier.
Hayley eu un léger sourire aux coins des lèvres alors qu'elle finissait par attraper le chat pour le soulever. Par surprise, l'animal détourna les yeux et Hayley ne pu s'empêcher de rire très doucement. Il avait perdu... et dans un élan de tendresse, la jeune fille embrassa son chat entre les deux oreilles pointues.
Feignant d'être un boudeur professionnel, le chaton s'était ravisé rapidement quand il avait reçu ce baiser. La vert et argent adorait embêter son chat quand celui-ci ce mettait à faire la tête.
Elle se leva doucement et mis sa main en dessous des pattes de Gribouille. Elle alla dans la salle commune et resta figée droite comme un piquet, le regard perdu dans le vide alors qu'elle inspirait profondément l'air frais qui venait lui caresser le visage.
Elle caressa une dernière fois son chat qui tendait les pattes pour pouvoir sauter par terre.
Elle s’abaissa et le posa doucement à terre. Il trottina pendant un moment puis sauta sur l’un des divans, se mit en boule et commença à fermer doucement les paupières.
Elle s’assit gracieusement à coter de son chat qu’elle caressa hasardeusement. Il devait être un peu près 6h30. Chaque matin Hayley se retrouvait à la même heure entrain de caresser Gribouille. Il devait encore faire nuit Mais Hayley restait songeuse. Elle mit son blouson couleur argent et se glissa hors de la salle. Elle fut surprise et écœurée. Il y avait une odeur infernale dans les cachots. Une odeur de rat mort. Hayley se dépêcha à traverser la pièce tout en suffoquant. Quand elle fut arrivée dans le Parc elle se posta face au vent laissant voleter ses longs cheveux noirs derrière elle. Elle tendit les bras en croix et laissa le vent la caresser, respirant à plein nez l'air frais du matin. Quelle douce sensation …
Elle resta là bien dix minutes et quand elle vit le soleil se lever et, peu à peu, le ciel s’éclaircir. Elle rentra à l’intérieur pour rentrer à nouveaux dans la salle commune. Elle retint sa respiration pour ne pas sentir cette horrible odeur qui squattait les cachots. Elle rentra dans la salle commune et aperçut quelques personnes qui s’étaient réveillés
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