+ pensée trouble + [(libre)]

Invité

Voilà maintenant un long moment que je suis ici. La roseraie,endroit calme et reposant, faisant germer la pensée face à cet arc-en-ciel de couleurs vives ou pâles celon les endroits. c'était peut-être un des plus beaux endroits de Poudlard. Hiver comme été, ce tourbillon de couleur restait là paisible sans bouger ni dormir... Certaines des plus étranges aux plus communes. ranimer un coeur parmis ces parfums multiples devenait chose aisée..Enfin si l'on puis dire. La douceure, la beauté et la dignité de ces quelques plantes nous montrent une véritable beauté végétale. Encore combien de temps pouront-elles éclairer ce monde qui bascule dans l'obscurité totale.

Dans le silence le plus complet de mon âme je les contemple. Ce monde était difficil, car il fallait toujours faire sa place jusqu'au point parfois d'écraser les autres sur son passage pour y arriver. La noirseure des vies, d'autre ce complaise à ce mal alors que d'autre en souffre soit en silence soit d'une tout autre manière... Finalement allaient-ils dans la pénombre des ténèbres ou vaincraient-ils le noir pour vivre dans un monde sans meurtre incessant. Etait-ce tout simplement possible...?

Enfoncer dans mes profondes pensées philosophique, quelqu'un vint m'en tirer en me touchant l'épaule...Peut-être était-ce mon regard vague comme vidé de tout qui inquietait ? je ne tarderais pas à le savoir, reprenant peu a peu mes esprit je trouve la force de tourner la tête vers l'inconnu ou peu être pas...

Invité

Quand Faith arriva dans sa chambre, elle se rendit tout de suite compte que son cahier dessin manquait à l'appel. Dans la journé elle n'étaitallé que dans deux endroits bien precis: La roseraie ou Les serres. Par deduction la serpentard choisis le premier lieu.
Le cahier était la seule chose à laquelle Faith tenait vraiment, il refermait tout les secrets de la serpentard et des souvenirs dont elle n'avait parler à personne. Si qu'elqu'un venait à poser la main dessus elle n'hesiterais pas à le reduire en miette.
Le vent faisait claquer la cape de la prefete au fur et à mesure qu'elle parcourait le parc. D'un pas déteminé elle s'engagea sur le pond suspendu. Le vent était de plus enlus fort et la verte et argent commençait à frissoner. Mon dieu comment avait-elle pu être si distraite au point d'oublier son cahier.
Soudain ellle repensa à ses parents morts. Elle les avait souvent dépeint dans leurs cellules dans la maudite prison d'Azkaban. Plusieurs dessins les representaient souffrant le martyre au mileu des détraqueurs. ces dessins devaient rester secrets, ils n'étaient qu'à elle.
Traverser le parc lui prit une vingtaine de minute, et quand elle en poussa la porte Faith découvrit qu'une personne avait déjà prit place dans ce lieu. La serpentard chercha des yeux l'objet de sa venue mais en le vit point. Elle eut beau regarder dans tous les ecoins il n' avait aucune trace de son carnet.
Le plus étrange était que la fille, une serdaigle visiblement n'avait pas bouger d'un cil pendant que faith fouinit dans la roseraie. Et quand la prefete voulu vir de plus pret c'est inconnu elle remarqua enfin son carnet; Calé sous le banc de la serdaigle. Avec un soupir la belle s'avança Vers la serdy et posa sa mai sur son épaule avec un air faussement amicale.

"- Tu peux te pousser tu es assise sur un truc qui m'appartient."

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L'inconnue en question était une jeune serpentarde, je n'avais pas l'impression de la connaître ni de l'avoir déjà vu mais après tout qu'est-ce que ça pouvait bien me faire..Elle ne me connaissait pas et moi non plus alors pourquoi devenir froide et distante juste sous prétexte que c'est une serpentarde, même si la réputation des serpentard n'est pas brillante juger quelqu'un sur ça maison est d'abors stupide... Elle me demande alors de me lever car apparement j'étais assise sur un objet en sa possession. Je la regarde de bas en haut puis baisse mon regard vers le sol apercevant alors une petit carnet posé sur le sol...Avant que la jeune demoiselle n'ai eu le temps de dire ou faire quoique se soit, je me baissais pour l'attrapper de ma main,l'épostant rapidement puis je le lui tendis naturellement.

Je supose que c'est ceci...

Et comme me préparant à ce qu'un oragan s'abate sur ma tête, je me sentis obliger de préciser alors à la jeune fille.

Je n'ai rien vu de son contenu car je viens selement de m'apercevoir de sa présence...

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