La jeune Williams cherche un cavalier pour le bal [Libre]

Hayley regarda par la grande fenêtre de la salle. Dehors il faisait très beau et elle avait enfin finit son devoir de botanique. Se devoir qu’elle avait préparé pendant une bonne semaine. C’était finit et il était parfait. La serpentarde était sûre de recevoir une bonne note.
Elle ferma ses cahiers lentement et délicatement sans se pressé.
Pour faire ces devoirs elle venait souvent ici ou bien à la bibliothèque. Tous les autres endroits étaient trop bruyants.
Bien sûr, c’était agréable de lire dans le parc mais l’on était vite dérangé par les élèves qui s’amusait à s’envoyé des sorts.

Elle se leva, prit ses livres dans ses bras et alla signaler à Madame McGonagal qu’elle s’en allait. Celle-ci hocha lentement de la tête et se repencha sur ses copies qu’elle corrigeait.
Avec les lunettes au bout de son nez et les ride qui lui donnaient une bouche ronde elle semblait strictement sérieuse.

Hayley sortit de la salle d’étude et alla remettre les livres à la bibliothèque. Quand au devoir elle alla le porté à la salle commune. Elle le rendrait un autre jour.

Elle s’en alla vers l’extérieur et alla en direction du lac. Elle s’assit devant celui-ci en laissant son esprit divaguée.

Bientôt se serait le bal et elle se demandait si elle allait y allé. Et si elle allait y allé en compagnie d’un charmant garçon. Faut voir aussi quel garçon serait assez digne pour allez à cette soirée en sa compagnie. Mais si elle n’y allait pas elle se rendrait ridicule. Tout le monde irait à la fête temps attendue et elle errerait dans le parc tout en pansant que personne n’était assez bien pour l’avoir pour cavalière. Non elle irait et avec un homme sublimement élégant. Tout le monde les envierait elle en était sûre ! Il faudrait qu’elle passe chez Tissard et Brodette pour ce trouvé une robe majestueuse dans se cas.

Et tendit qu’elle pensait à toute ses emplêtes qu’elle devrait faire avant de se rendre au bal une personne avait pris place à côté d’elle et la contemplait sans ne pouvoir la lâché des yeux. Quand elle l’aperçut elle fut assez gênée de se regard qui lourdait sur sa silhouette.