Fringale de minuit [Pv Harry]

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Les gens de l’école étaient habitués à le voir passer par toute une gamme d’émotion différente. Sans être un dépressif, il n’était pas la personne la plus saine d’esprit de Poudlard. Parfois, il lui arrivait d’être d’excellente humeur et en ces temps-là, il aimait discuter avec les autres et engager la conversation avec la gente féminine. Sa rencontre avec Cho en était un exemple. Mais d’autre jour, son humeur était d’une exacrébilité hors du commun. Dans ces temps-là, tous savaient qu’il était préférable de ne pas l’approcher par mesure de sécurité. Ce n’était peut-être pas une personne violente, mais sa langue était acérée et il avait ce qu’on appelle le sens de la répartit. En gros, c’était Gabriel à son plus pire.Or, en cette journée d’hiver, il était d’une humeur assez exécrable.
Il avait reçu la veille une lettre de sa sœur peu enthousiasmante et son moral était au plus bas.

Assis dans un fauteuil, il prenait et retournait le morceau de parchemin dans sa poche. Une écriture brouillonne s’étalait sur plus d’une page, à l’encre vert. Parfois, des petites tâches dissipées ça et là témoignait du stress que devait éprouver sa frangine, signe que sa main tremblait. À bout de patience, il ressortit le morceau de papier et le relu pour une énième fois :

Cher frère, j’ai bien reçu ton courrier, qui m’a fait chaud au cœur. Sache que je pense fort à toi et que j’ai bien hâte de te revoir. Si cela peut te rassurer, je souffre également d’insomnie. Peut-être sommes-nous également liés sur ce point ? Un conseil : Prend du lait chaud dans de tel moment. Ça endors. Je reviendrai dans 2 mois, peut-être plus, je ne peux rien te garantir. Le temps est maussade au Québec et ma maladie tente de prendre le dessus sur moi. Mais pas d’inquiétude, ça ne durera pas. Grand-père t’envoie multitude de bisou, et moi je t’envoie quelques fioles au cas où… Fynlie, ta sœur qui t’aime.

Rare. Tel était le mot que les médecins avaient employés pour décrire ce qui touchait sa sœur. Celle-ci s’était montrer la plus indépendante, fière et froide que possible à l’annonce de cette nouvelle, mais il savait qu’elle devait s’inquiéter autant que lui. Néanmoins, ce n’était pas très grave et des mois de repos était le traitement recommandé. Gabriel savait que Fynlie allait guérir, là n’était pas la problème. Ce n’était pas une maladie mortelle. Mais il avait hâte de la revoir, histoire de bénéficier de ce soutien qui lui manque temps. Et lui qui espérait la revoir bientôt. Deux mois. C’était long à attendre. Fâché, il serra légèrement les poings, écrabouillant du même coup la pauvre lettre. Il était 3h du matin, et il aurait dût être au lit. Mais comme d’habitude, le sommeil n’avait aucun effet sur lui.Pourquoi ne pas suivre le conseil de sa chère serpentard ?

Lentement, en tentant de faire le moins de bruit possible, il se leva du fauteuil et franchit la porte de sa salle commune, tout en jetant des coups d’œils autour de lui. Il ne devait pas de faire prendre par un professeur, se serait trop bête. Après plusieurs minutes de marche, il arriva à destination. Grattant la poire, il pénétra dans la cuisine en jetant un regard intéressé autour de lui. Ce n’était pas la première fois qu’il venait ici, étant également réputé pour ces fringales de minuit. Avec brutalité, il demanda un breuvage latté chaud, et les elfes s’empressèrent de lui obéir. À peine quelques secondes plus tard, il tenait entre ces mains une tasse fumante qu’il porta immédiatement à sa bouche. Or, alors que le liquide allait entrer en contact avec sa langue, il entendit un bruit qui le fît sursauter. La tasse heurta le sol, son contenu se répandant harmonieusement parmi les débris de porcelaine.

Harry n'etait pas vraiment d'humeur ce matin en se levant et il l'etait encore moins maintenant, un journée de cours et froide venait de se terminer une nouvelle fois a poudlard. Il voullait directement rentré dans la salle commune et aller se coucher, mais peeves arriva et commenca a lui jeter des affaires dessus et a bouger le passage qu'il devait prendre. Il dut donc faire un detour pour arriver a la salle commune. il arriva devant le portait de la grosse dame, mais il entra, mais en resortie directement, alors, il avait faim, il alla donc jusqu'au cuisine. Il arriva devant le portrait represetant la coupe de fruit, il gratta la poire et la portrait pivota, mais a peine il entra il entendit un bruit de fracas. Il pensa tout de suite qu'il s'agissait surement d'un elfes de maison qui est fait tomber quelque chose, mais ar sa grande surprise c'etait un eleves de poufsouffle. Il avait renverse quelque chose qui resembler a du breuvage latté chaud. il s'approcha et lui dit.

"tu veux que je t'aide a ramasser ?"

Il se pencha et ramassa les debrit et d'un coup de baguette fit disparaittre le liquide du sol. il se releva et vit des elfes se precipitait vers eux et dire qu'ils etaient desoler de ne pas avoir ramasser mais harry leurs dit.

"ne vous en faites pas ! nous avons ramasser. Mais pourriez vous ramennez la meme chose pour le jeune homme et un jus de citrouille et des gateaux silvousplait."

Puit il se tourna vers l'eleves et lui demmanda en le regardant dans les yeux.

"Comment t'apelles-tu ? Moi ses Harry Potter."

Il continua a regarder l'eleves dans les yeux en attendant sa reponse

Invité

Il avait rapidement relevé la tête pour voir qui était à la cause de son malheur et avait reconnu avec une certaine irritation, un gryffondor. Gabriel n'avait aucun préjugé envers les maisons, mais il devait admettre que les rouges et ors l'agaçait avec leurs soits-disants courage et leur dédain pour les serpentards. Mais en ce qui concernait sa soeur, c'était l'inverse. Elle ne détestait pas les liondors, comparé à lui qui ne les portaient pas dans son coeur. Mais celui-là semblait tout de même sympathique, l'aidant à ramasser ce qu'il avait cassé. Pour une fois dans sa vie, il allait devoir mettre sa rancoeur de côté pour se concentrer sur le présent. Rien de plus aisé. S'il aurait été de meilleure humeur. Ce qui n'était pas vraiment le cas. Avec froideur, il dévisagea le jeune homme qui venait de sortir sa baguette pour réparer le dégât. Il commanda ensuite des pâtisseries et Gabriel acquiessa à ce moment un bref sourire. Lorsqu'il se présenta comme étant Harry Potter, le pouffy laissa échapper un grognement. Comme toute personne normale, il connaissait ce nom qui était célèbre. Mais il s'en foutait. La popularité n'était jamais une bonne chose et il doutait sérieusement que ce ''survivant''apprécie toute l'attention qu'on lui portait. Il répondit donc:

-Gabriel Walf. Ma soeur est à serpy.

Merde. Qu'es-ce qui lui avait prit de dire ça ? Le rouge et or n'avait rien dit de méchant pourtant...et lui, déclarait quasi-ouvertement les hostilités. Bah...tant pis pour lui. Il n'avait qu'à ne pas le déranger dans une de ces fameuses crises d'humeur. Ayant néanmoins une bonne conscience, il se reprit:

- Désolé... je dis n'importe quoi...

Puis il rajouta, comme pour expliquer ces paroles:

-Le manque de sommeil, tu comprends...

Harry remarqua que l'eleve n'etait pas tres content de le voir, mais lorsqu'il avait commandé les patisserie et a boire, il lui fit un sourire. Puit il lui dit, son nom, il s'appellait Gabriel Walf, mais pour une raison bizarre il ajouta que sa soeur etait a Serpentard. Puit il se rattrapa et dit qu'il disait n'importe quoi. Harry regarda Gabriel, il avait quelque chose de deja vut, quelque chose qui ne plaissait pas a Harry. Puit il lui dit.

" Se n'est pas grave que ta soeur est a Serpentard, J'ai une amies a serpentard."

Il remarqua que les elfes etait de retour avec leur gouter. harry prit sa coupe de jus de citrouille et une patisserie. Pendant quelque minutes, on entendait plus que la liquide des coupe bouger ou la mastication des patisserie. Puit harry reprit la paroles et dit.

"Gabriel... pourquoi fait tu une drole de tete ?"

Il le regarda, Le pouffy ne l'avait pas lacher des yeux et harry trouvait sa agacant.

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Deuh? Jolie question, que venait de poser cette gryffondor. Désirait-il la vraie réponse ou bien simplement une version abrégé d'un mensonge qui s'avère être ce que toute personne normale voudrait entendre ? Première version ou deuxième ? C'était si tentant après tout... Mais lui balancer en pleine figure qu'Il n'appréciait guère les gryffondors, et ce à cause de simple préjugé alors qu'en tant normal il défendait de tel idée n'était peut-être pas la meilleure des choses à dire. Sans parler du fait qu'il se rappellait maintenant se souvenir désagréable du nom de Potter. C'est-à-dire l'ex-petit copain à Cho. Certe, ce n'était pas de ces affaires , mais n'em^pêche qu'il n'appréciait pas ce genre de type. Donc 2-0 en nuisance du rouge et or... Allez, par pure sympathie à son égard, chose qu'Il ne mérite sans doute pas, il allait opter par la deuxième option. C'est-à-dire faire un jolie sourire et répondre tout aussi gentiment. On étire les lèvres, encore un peu plus...Raté. Ça ressemble davantage à un rictus. Mais au moins, il avait fait des efforts, nah? Il ouvrit ensuite la bouche, disant:

-Je te signale que tu fais la même tête que je dois faire présentement.

Zut. Une autre bonne résolution de raté. Et pourtant, ça partait d'un bon escient. On recommance ? Nah. Trop épuisant de jouer les mecs sympas alors qu'on est maussade. Mais bon...si ça peut nous éviter les disputes. Il dit ensuite, prenant une nouvelle tasse de café que lui tentait un elfe:

-Mais si tu veux vraiment savoir, je suis toujours ainsi le matin.

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